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La thrombose veineuse profonde est une affection grave qui survient souvent après une intervention chirurgicale. Son traitement repose sur la prescription de spécialistes. Alors comment traiter cette maladie ? Cet article présente les principaux moyens de traitement de cette maladie.
Traitement par anticoagulants médicaux
On distingue deux types de traitement anticoagulant : le traitement par anticoagulants oraux directs ( AOD) et le traitement par Antivitamines K ( AVK). En effet, la plupart du temps, c’est le traitement par AVK qui est recommandé sur place. Ce traitement est suivi d’une injection et d’un contrôle du taux de coagulation du sang (IRN) jusqu’à ce que le taux soit compris entre 2 et 3. Par ailleurs, le traitement par les AVK est le plus efficace et ne nécessite pas de test. Cependant, il est très coûteux et les patients ont parfois du mal à se le permettre.
Le port de bas de compression
Les bas de compression jouent un rôle très important dans le traitement de la thrombose veineuse profonde. Ce sont des tissus solides, très collants et serrés qui empêchent les caillots de migrer vers le poumon. Sur prescription du spécialiste traitant, ils sont achetés à la taille et classés en fonction de la gravité de la maladie et de la forme et de la longueur de la jambe du patient. Les bas de compression sont ensuite portés pour la TVP tout au long de la journée. La nuit, le patient peut les enlever avant de s’endormir. Ce traitement est essentiel pour le traitement de la thrombose veineuse profonde et est très coûteux.
Traitement avec des anticoagulants naturels
Bien qu’il existe peu d’études sur le sujet, les anticoagulants naturels sont essentiels dans la prévention des risques cardiovasculaires. Grâce à leur fonction antiagrégante, leur action entraverait la formation de caillots dans la voie artérielle et veineuse de l’organisme. Parmi les anticoagulants naturels, on trouve : le gingembre, le chou, le raisin, les pommes, les oignons rouges, les haricots verts, le concentré de tomates, le thé, la canne à sucre, etc. Les anticoagulants naturels sont donc considérés comme des compléments anti-thrombotiques. Il ne faut donc en aucun cas ignorer les prescriptions des médecins spécialistes à leur profit.